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Categorie : Portraits

La Tournée 2013 des Castafiores

Oui oui !! nous sommes fans des Castafiores et nous le revendiquons …
nous ne résistons pas à l’envie de vous présenter le teaser de leur spectacle 2013 … ils assurent nos jeunes trébéens !!!

 

Hugo Miquel pérennise la Passion Musicale Familiale

 2012

Dimanche 11 Novembre 16h 

jo-hugo

A l’occasion du Festival de Jazz de Conilhac, nous avions, lors de la précédente édition,  dirigé des coups de projecteurs vers des Trébéens qui y participaient : le trompettiste Claude Egéa  cliquez Ici et le « multi-talents » Jo Moutou cliquez Ici.

Pour cette cuvée 2012 c’est à Hugo Miquel que nous accordons toute notre attention…

Ce jeune musicien n’est autre que le petit-fils de Jo (qu’il appelle affectueusement« papé ») et nous l’avions déjà mentionné en tant que batteur de la formation Ghost Note dont fait également partie son grand père.
Cette année Hugo est à l’affiche de ce 26 ème festival avec son propre groupe C2H.
Mais revenons tout d’abord sur le parcours de ce garçon….

Avec Jo pour aïeul, Béatrice ( sa maman ) qui a pratiqué le saxo et le chant… le solfège a forcement été un passage obligé de la prime enfance pour ce descendant de cette famille pour laquelle la culture musicale occupe une très grande place.

A 10 ans, le gamin se tourne vers les percussions (notamment africaines) et il bénéficie de l’enseignement de François Louis une pointure de cet art. Puis vient l’adolescence et les années lycée où avec  quelques copains  ils constituent un groupe de rock informel. La musique est bien installée dans la vie du teenager, un peu trop même puisqu’il décroche son Bac Lettres  à l’arraché.
Puis direction Toulouse où il fait deux années de Fac en musicologie-Jazz. En parallèle, il intègre l’école internationale de batterie Dante Agostini dirigée par Daniel Dumoulin qu’il qualifie de Grand Monsieur. Un avis d’ailleurs entièrement partagé par Jo.

Aujourd’hui Hugo, déborde d’envies, de curiosité de tout…   féru de plein de choses …   il est presque victime d’un éclectisme  qu’il a parfois du mal à canaliser… mais le jeune homme a tout de même la tête sur les épaules et est pleinement conscient qu’il est difficile de nos jours de vivre de la musique. C’est pourquoi, il prépare actuellement 2 concours, l’un pour être bibliothécaire  l’autre aide-soignant. Des choix qui peuvent sembler étonnants mais qui en fait reposent sur des pôles d’intérêts bien ancrés: L’un son attrait pour les lettres, l’autre son inclination pour la psychologie. Quelle que soit sa future profession… il n’en restera pas moins musicien.

C2H
Avec deux comparses, notre batteur trébéen a créé le trio C2H… cette appellation qui peut faire penser à une formule chimique est en fait basée  sur les initiales des protagonistes de la formation : Charlotte , Henri et Hugo.

Ils se sont connus en Fac et mettent leurs talents et leurs diversités culturelles au service d’une musique qui au final est un amalgame  de sensibilités et ne peut entrer dans un genre bien défini.  Le jazz y a tout de même une place prépondérante.
Charlotte Bonnet a dans ses bagages des formations percu-classique  et chant lyrique… Henri Lassemillante d’origine réunionnaise se commet à la contrebasse et a le rythme dans les tripes.

Dans le cadre de ce festival qu’Hugo connait bien pour y avoir été spectateur tout d’abord puis intervenant lors des bœufs (ou Jam Session) de « La Cave » qui s’anime en after des concerts… C2H livrera une set list qui mettra en exergue plusieurs influences. Des reprises de standards de Bill Evans, Nougaro, Gainsbourg… qu’ils s’appliquent à rendre inattendus. Des compos empreintes entre autres de  maloya ce genre musical réunionnais mais aussi de tendances arabo/andalouses… bref ! un large panel et un bel amalgame de genres et rythmes à découvrir.

C’est donc dimanche à 16h à Conilhac  que l’on pourra applaudir les C2H. Simone et Jo qui comme chaque année contribuent à la logistique ( pour elle) à la présentation (pour lui ) de ce festival seront bien évidemment aux premières loges pour applaudir leur « petit ».

 

L’Actu des Handballeurs + Laurène Baiget

Pré-nationale masculine : L’équipe trébéenne reçoit les cheminots nîmois ce samedi à 20h45 au COSEC. Cette rencontre entre ces collectifs premiers ex-æquo promet d’être tendue !

 Pré-nationale féminine : Les « rouges et blanches » se déplacent à Montpellier ce week-end pour affronter le MUC.

 Régionale honneur masculine : L’équipe II trébéenne accueille Teyran, samedi, à 18h45, au COSEC, en ouverture du match de l’équipe I.

 Départementale masculine moins de 14 ans : Mercredi 31 octobre avait lieu, au gymnase du COSEC, une journée de stage consacrée aux moins de 14 ans garçons. A partir de 10 h et jusqu’à 18 h, les 2 responsables de cette catégorie, aidés de 4 joueurs séniors, ont pris en charge une bonne vingtaine de jeunes. Après un réveil musculaire, les jeunes joueurs ont pu démontrer toutes leurs qualités techniques individuelles au travers d’exercices divers de tirs et autres un contre un. Le repas de midi fut pris en commun et des groupes furent formés pour participer à un quizz sur le sport dans lequel nous avons pu constater que l’esprit de compétition était présent ! L’après-midi fut consacré à des séquences de jeu, des montées de balles puis un match. Un gouter clôturait la journée après une petite danse improvisée par tous les acteurs de cette journée. Ce stage fut positif tant sur la progression des joueurs que sur l’esprit de groupe qui a régné tout au long de la journée. Un remerciement particulier à Romain, Thomas, Olivier et Julien qui ont pleinement contribué à la réussite de la journée.

Leur photo du jour

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Zoom sur Laurène Baiget

laurene-baiget2En aout dernier Laurène participait à un stage régional durant lequel ont été sélectionnées, les filles qui constituent le groupe  98 qui représente la région. 

Sélectionnée depuis 2 ans dans l’équipe de l’Aude, c’est suite à une détection à Frontignan que Laurène a été repérée par le sélectionneur pour ce stage régional fin août. La saison dernière  au cours du Championnat Laurène a marqué + de 170 buts, faisant d’elle le » meilleur buteur  » de l’Aude et des Pyrénées Orientales.

C’est donc chose faite la jeune demoiselle fait partie intégrante de l’équipe régionale « féminines 98 ».  Laurène, seule audoise de la sélection  , a consacré ses vacances de  toussaint à un stage de ligue  et a vécu le  1er tour de l’Interligue.  Le groupe s’est rendu à St Germain en Balvozy près de Puy en Velay où elles ont vaincu les filles de la ligue Auvergne et se sont inclinées devant celles de Dauphiné Savoie.

Le Nouveau Single des Castafiores

 

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Après la sortie en juin de leur tube de l’été « Boys Boys Boys » , et pour marquer le coup d’envoi de leur tournée 2012-2013 …

Nous vous invitons à découvrir le nouveau single numérique de nos trébéens du groupe Les Castafiores !  Avec leur talent à transformer les grands standards musicaux en hymnes festifs déjantés, ils adaptent cette fois « Paris s’éveille » de Jacques Dutronc et en face B le  tube planétaire « profite du silence », la version française de « Enjoy the silence » de Dépêche mode ! Les 2 morceaux sont passés à la moulinette Musette-Reggae-Rock de ce joyeux trio de détourneurs de chansons !

Ce single, comme les 4 albums du groupe, sera disponible sur toutes les plateformes légales de téléchargement numérique 

« Trombi Sourire » de la Fête des Vendanges

La Fête des Vendanges n’a pas eu le succès escompté … nous en avons tout de même ramené un trombi de ceux qui ont dégusté les primeurs des viticulteurs qui avaient honoré l’évènement.

 

Le « Trombi Sourire » du Vide Greniers des Capucins

L’expression « Ils l’ont réussi »  s’applique pleinement au vide-greniers qu’organisaient les Capucins samedi aux arènes. Les conditions météo incitaient à la balade dans les allées et l’équipe de bénévoles était au service de ceux qui ont souhaité se restaurer de leurs grillades ou se désaltérer à la buvette.

Notre « Trombi Sourire » des Trébéens que nous avons rencontrés  lors de notre passage… les uns avaient déballé  leurs « trésors » les autres étaient en quête de la « bonne affaire ».

 

Patrick Chaplain

Patrick Chaplain… homme de la mer, des airs et de la Terre

patrickchaplain       C’est par le biais de « l’Art en Découverte » et des superbes photos de l’une de leurs sorties que nous avons fait la connaissance de Patrick Chaplain et de son épouse Suzanne. Un couple charmant à la fois discret et dynamique !

Nous connaissions de Patrick, son attrait et sa sensibilité pour la photo… nous avons découvert sa passion  pour le vol aérien… mais pas seulement.  En fait Patrick Chaplain est un homme proche de la nature qui est aussi à l’aise sur l’eau, que dans les airs ou sur la terre ferme. N’allez pas penser que nous avons là un être « sauvage » et solitaire… non non, il s’agit d’un monsieur fort affable et avenant.

Lui originaire de Bretagne, elle de la Barbacane  à Carcassonne… c’est  dans le cadre de leurs études en facs à Toulouse qu’ils se sont rencontrés… lui se destinait à être biologiste et elle avait choisi les lettres. En terre bretonne ils s’installent plus tard et donnent naissance à deux enfants…

C’est la voile, qui s’impose tout d’abord dans la vie de Patrick … un papa Commandant de Marine dans la Royale a sûrement influé en ce sens… en lui ayant fait connaître, alors qu’il était tout petit, les sensations du bateau à voile.   Devenu ado, Patrick a vécu la mer jusqu’à des régates, des compétitions qui lui ont valu le titre de Champion de France sur dériveur. En parallèle de sa vie de famille et professionnelle, le bateau est longtemps resté présent…

La terre et ses beaux paysages…  c’est en venant au « pays » de Suzanne durant leurs vacances, que la rando dans nos Pyrénées a pris place dans sa vie. Il pratique toujours ce sport/loisir et est membre du Club Alpin Carcassonnais. Il côtoie également la nature dont il se sent si proche, lorsqu’il fait du vélo… pour l’entretien de sa forme…

L’avion, a lui aussi fait partie de sa jeunesse, par son frère, qui était son aîné de 14ans et membre de l’Armée de l’air. Ce dernier qui est aussi son parrain, ne vivait que pour l’avion et lui a collé le virus en l’amenant lorsqu’il était ado, pour des virées aériennes dans le « coucou » qu’il avait en parallèle de sa carrière.

L’heure de la retraite a sonné, Suzanne et Patrick ont posé leurs valises à Trèbes , permettant à celle-ci de retrouver son pays natal , dont « il l’a  retenue si loin, durant 30 ans » nous dit-il.

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Même si l’avion l’a toujours intéressé, ce n’est que depuis 3 ans que Patrick en a fait un réel loisir. Une aventure qu’il dit devoir à Bill Gates, puisque c’est en surfant sur un moteur de recherche qu’il est tombé par hasard sur la silhouette d’un petit avion et qu’en approfondissant le sujet, il a constaté qu’il s’agissait d’un U.L.M.   Bien loin des petits engins sans coque « à la Nicolas Hulot » auxquels on pense lorsque l’on dit U.L.M.
En fait U.L.M. est une catégorie administrative qui sous entend un appareil motorisé qui a une puissance maximale de 100 chevaux, moins de 500kg de charge et seulement deux places.

Ainsi, il y 3 ans Patrick s’est rapproché de l’Aéro-club de Castelnaudary, Il a été séduit par son fonctionnement à taille humaine, son environnement et la solidarité qui règne entre les fanas d’aviation.  Il y a suivi les heures d’enseignement prodiguées par Bernard Ladevie  instructeur bénévole, et acquis la formation qui lui permet de voler seul ou avec passager. Depuis il s’adonne à ce plaisir parfois en solitaire, mais souvent avec Suzanne  avec par exemple pour destination St Flour dans la Cantal où ils se sont posés le temps d’un pique nique… ou comme prochainement en direction du Larzac pour là aussi un déjeuner champêtre. Bien évidemment Patrick profite des points de vue que permettent le vol pour ramener de fabuleuses photos de ses sorties.

Voilà un retraité très occupé, qui a vécu et vit ses passions, simplement sans en faire étalage… dont la compagnie est aussi plaisante qu’enrichissante, … tout autant que celle de Suzanne son épouse. Ils se sont bien trouvés ces deux là et forment vraiment un couple délicieux.

3 Jours avec l’Art en Découverte sur la Côte d’Azur

L’association partage avec nous le périple de ces 3 jours dont les participants. conserveront à coup sûr de fabuleux souvenirs …

Il y avait tout, la beauté des vieilles pierres et les lignes subtiles de l’architecture contemporaine ; la grandeur vertigineuse de l’Histoire et celle toute proche du 20ème siècle ; les paysages montagneux, les fleuves et les golfes clairs ; la gentillesse de l’accueil dans un simple car de tourisme et ensuite dans un centre de vacances niché dans la pinède; la qualité des guides dans tous ces lieux et celles des interventions savantes, en cours de route dans le car.

Bien sûr il y avait d’abord ce qui fédère « l’art en découverte », la peinture et la création plastique.
Tout cela se passait les 5, 6, 7 octobre derniers

A Tarascon, au Château du roi René où les installations de jeunes plasticiens pour l’exposition temporaire « bêtes, monstres et bestioles » remontaient magnifiquement le cours des siècles jusqu’au nôtre, dans les différentes pièces de ce vaste lieu.

À Antibes où la magie s’est installée dès l’approche du palais Grimaldi en bord de mer sur la falaise, au pied de la vieille ville. La suite n’a été qu’émerveillement : les sculptures de Germaine Richier sur la terrasse, les tableaux et faïences de Picasso, les oeuvres de Nicolas de Staël, de Van Velde …

À Menton où les adhérents ont été séduits par le bel et discret édifice blanc et noir construit par Rudolf Ricciotti, pour accueillir Cocteau et la profusion artistique de cette époque : poésie, théâtre, littérature, cinéma, danse.

À Biot dans le musée Fernand Léger où le colossal et la poésie s’entremêlent dans les œuvres colorées du grand moderniste

Et enfin à St Maximin, cité de la « Provence verte », près du massif de la Sainte-Baume, où l’histoire de la basilique Sainte Madeleine, 3ème tombeau de la Chrétienté, a tenu les participants en haleine.

Et c’est dans la joie des échanges entre 60 adhérents anciens et nouveaux réunis pour ces trois jours, dans leur désir de voir, dans leur confiance toujours renouvelée que l’association puise l’envie de continuer à proposer cette façon de connaitre le monde.

Les superbes  images de Patrick Chaplain … qui conserve le titre de  » Notre photographe préféré »

Les Souvenirs de Mado : Trèbes Terre d’Accueil

Recueillis par René Diédrich

Ses souvenirs sont bien ancrés dans sa mémoire…

mado

Madeleine Diedrich, épouse Liégard dite « Mado », se souvient très bien du jour où elle a été expulsée de Lorraine avec toute sa famille, son père, sa mère et ses trois frères et sœurs, avec d’autres habitants de la commune, alors qu’elle n’était âgée que de 10 ans, le 10 Novembre 1940.
Le petit village de LESSY, près de METZ était calme, et ce matin-là encore plus calme que d’habitude, avant que l’on entende les soldats allemands frapper contre les portes des maisons habitées, à l’aide des crosses des fusils mitrailleurs, pendant qu’ils vociféraient : « vous avez 5 minutes pour faire vos valises !!! »Un matin, les Allemands ont embarqué les familles qui ne voulaient pas se soumettre à l’envahisseur, les expulsés ont tout abandonné, laissant leurs biens à ceux qui avaient choisi de rester sur place.

« Nous avons été dirigés vers la place du village, où un autobus en stationnement nous attendait sous l’oeil attentif d’un soldat allemand. Une fois rempli, l’autobus démarra et prit la direction de Metz. Arrivés en gare de Metz, on nous a fait monter dans un train déjà bondé. Nous étions les uns sur les autres, mais ensemble. Le train quitta la gare et prit la direction du sud. Tout le monde essayait de savoir où nous allions, les infirmières remontaient le moral aux malades et s’occupaient des enfants. Je me souviens avoir bu un verre d’eau et mangé un bol de riz !

Le train se remit en route et arrivé à Mâcon, nous avons entendu des soldats français présents sur le quai, qui à la vue du convoi entonnèrent « la Marseillaise » avec force et amour. Tout le monde était ému et les soldats sont venus embrasser les femmes, avec une pudeur extrême. Après ce petit intermède merveilleux, le train redémarra et le soir venu, il s’est arrêté à un endroit dont j’ai oublié le nom, de nombreuses personnes sont descendu du train pour essayer de dormir un peu, allongées à même le sol. Je me souviens que l’on nous a servi un repas complet et chaud.

Quelques heures plus tard, nous voici arrivés en gare de BRAM, petit village entre Carcassonne et Castelnaudary. Nous y avons passé 2 nuits, logés dans des hangars et des greniers immenses, avec de la paille et des couvertures. Après avoir pu récupérer quelques forces et éloigner un peu la fatigue, nous sommes repartis vers une destination toujours inconnue, avec un arrêt dans chaque gare. Ce fut enfin l’arrivé en gare de TREBES, où un camion nous attendait. Ce village m’a paru plus important que Lessy…. »

Devant la Mairie, Mr Sevely et son conseil municipal ont accueilli les expulsés pour leur offrir un bon repas. Ils ont fait preuve d’une extrême gentillesse envers de pauvres gens qui avaient tout perdu, et qu’ils n’avaient jamais rencontrés.

Les familles ont ensuite été accompagnées chez l’habitant. On leur offrit le logement et du matériel de première nécessité, avec beaucoup de dévouement. La solidarité a bien fonctionné. 

« De quoi avions-nous l’air tous, avec nos petites valises ? »
Le temps d’adaptation fut assez rapide. Entre les élus et la population, les expulsés essayaient tant bien que mal de se faire une petite place dans la vie de tous les jours. Ce n’était pas toujours facile. Marcel et Roger, les frères de Mado étaient, l’un apprenti fraiseur à la SNCF, et l’autre apprenti chez Mr Deniort, le maréchal-ferrant. La soeur aînée de Mado, Marthe était sur le point de se marier. Mado fut inscrite à l’école libre où grâce à Mme Gamel, elle obtint son certificat d’études, sa confirmation et sa première communion. Puis avec Melle Claire Dapot qui s’en occupait, elle alla à la chorale, fit du dessin, de la couture, du théâtre.

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Titine, mère de Mado était mère au foyer et Charles, le père était employé comme magasinier à la caserne Laperrine à Carcassonne. Il servait de « boîte aux lettres » entre les expulsés et leurs familles. La famille de Mado avait une grande estime pour la population de Trèbes, et lorsqu’à la libération il fallut retourner vivre à Lessy, là où ils avaient tout abandonné, Trèbes leur manquait. Trèbes aura toujours été présent dans leur mémoire, malgré 5 déménagements consécutifs.

Aujourd’hui, Mado, 83 ans réside à Trèbes. Venue s’y installer définitivement il y a 25 ans, elle vit dans un petit pavillon, entourée de ses enfants, petits enfants, arrière petits enfants, neveux et nièces. Trèbes fait partie intégrante de sa vie et Mado clame haut et fort et fièrement : Oui, Trèbes est une terre d’accueil, et elle ajoute humblement : Merci encore une fois pour tout.

Mado, à tous les expulsés de Lorraine…

René Jeantet

Septembre 2012 Les « Souvenirs Foot » de René Jeantet

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A 86 ans, René Jeantet a toujours la mémoire vive et ses souvenirs de jeunesse  lui font chaud au cœur, il a évoqué pour nous, ceux liés au foot de la première moitié  du siècle dernier…
« A l’époque je courrais comme un lapin. C’est loin tout ça ! Si on pouvait y revenir! » Ce Trébéen qui dans son équipe tenait la le poste de ½ aile ou arrière se souvient de tout ce qui faisait le foot à Trèbes. « Je travaillais pour l’entreprise de Georges Rouquet et c’est en 1941 que j’ai participé à la création du terrain qui se situait au bord du Canal à l’endroit où aujourd’hui il y a le terrain de pétanque et la maison de retraite. C’était une vigne et il n’y avait pas de tractopelle, c’est à la pioche et à la pelle que nous l’avons aplani. Durant la saison des moissons le stade servait à entreposer les meules – et c’était à celui qui ferait la plus jolie – en attendant le dépiquage. Il restait par la suite des brins de cette fibre végétale qui le rendait glissant par temps de pluie lors des matches de la saison suivante et il n’y avait pas de gazon. Pendant la guerre, les Allemands qui habitaient derrière l’école  du centre ville nous ont creusé une tranchée de 2 mètres au milieu du terrain, il a donc fallu par la suite reprendre pelles et pioches pour pouvoir rejouer. »

René se souvient aussi des hommes…
« C’est le pauvre Mélendes qui était président de ce qui s’appelait alors l’UST Foot, de la touche il vivait lui aussi le match. L’un de nos meilleurs joueurs était Antoine Rodriguez, il tenait bien sa place face au équipes les plus rudes comme celles de Salsigne et Axat. J’ai le souvenir de quelques blessures. A l’époque il n’y avait pas autant de sports que maintenant, et tout le village venait nous encourager.  »
Il lui revient en mémoire les détails de leur équipement et les conditions dans lesquelles il jouait à l’époque…  « Lorsque nous faisions des rencontres pas trop loin, nous y allions en vélo, et il n’y avait pas besoin d’échauffement d’avant match. Il fallait se laver les maillots, quant aux crampons  on devait les clouer et bien souvent à mi-partie, il en manquait un ou deux. Les ballons étaient faits de cuir avec une vessie à l’intérieur et fermé avec un lacet. Quand il pleuvait il se gorgeait d’eau et pesait le double. En tout cas nous étions des acharnés  et bien évidemment il y avait de temps en temps des bagarres, mais nous jouions dans une esprit de vraie camaraderie. »
Paul a chez lui en bonne place, cette photo de l’équipe vétéran des années 60 qui lui rappelle tant de souvenirs. »
Bien sur, nombre d’entr’eux nous ont quittés, mais vous croisez ici et là quelques autres qui auront surement grand plaisir à vous parler du ballon rond de ce temps là.

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Trombi Automnal au Marché

Un ciel gris , un désagréable crachin, des températures fraîches qui obligeaient le port de manches longues… ce premier marché automnal était bien tristounet!

Les visiteurs,   s’ils ne prenaient pas le temps de flâner paisiblement,  effectuaient leurs achats avec le sourire…

  

Trombi du Vide Grenier

Un très beau soleil, mais un vent à décorner un bœuf …  les conditions du vide grenier  qu’organisait le Club de Tennis de Table samedi étaient quelque peu contrariées. Les bénévoles étaient tout de même aux petits soins des exposants et des visiteurs qui n’ont pas été très nombreux. C’était tout de même une sympathique journée au cours de laquelle dans la salle tout à côté les jeunes ont taquiné la balle.

Notre Trombi-Sourires du jour

 

Les Trébéens à la Féria (2 )

       En voici les Trébéens ( où qui l’ont été) que nous avons croisé autour des casitas de la Féria et quelques images de l’orchestre Trébéen qui accompagnait Chico et les Gypsies lors de la soirée de clôture

 

Les Premiers Trébéens à La féria

Nous avons fait un petit tour sur le square Chenier à Carca pour ce début de Féria et avons croisé les premiers Trébéens ( ou qui l’ont été) . Ils étaient venu applaudir Yuri Buenaventura, se restaurer ou simplement passer un bon moment. Si vous comptez partager vous aussi cet évènement qui se prolonge jusqu’à dimanche, passez saluer nos amis Françoise, Bernard et Christophe à la casita du Cercle Taurin Carcassonnais que vous trouverez sur le second campo du square Chénier.

 

Une Carpe de 18,5 kg … Nouveau Record de Jean Baptiste

       Il y a un an de cela, nous vous contions la passion de Jean Baptiste Poite pour la pêche et plus particulièrement pour la Carpe (rubrique portrait). Depuis il n’a pas cessé de taquiner dame Carpe et il semble même qu’il ait contaminé Lizéa, son adorable bout de chou.

Le week-end dernier , au Lac de St Férréol, le jeune homme a enregistré un nouveau record … il a pêché une carpe de 18,5kg, un évènement  que Guillaume Rigaud, qui partage avec lui cet engouement pour ce loisir, a immortalisé. Bien évidemment comme toujours après la pesée et la séance photos, il a rendu sa liberté à ce monstre.

Sur les images vous verrez Lizéa qui à l’instar de son papa a vécu, elle aussi, un grand moment avec une carpe de 15 kg au bout de sa ligne. Heureusement son papouné était là pour l’aider, et l’empêcher d’être entrainée par l’imposant et fort poisson.  Une belle illustration de complicité entre un papa et sa fillette.

 

Louis Robert

louis-robertAout 2013 « Bonjour, je voudrais une tomate, svp ! » une telle demande ne sera pas saugrenue, si vous l’adressez à Colette Robert à la confiturerie tout tout au bout de l’Avenue Pierre Curie.  En effet, une  tomate que cultive amoureusement Louis son papa peut constituer à elle seule, une entrée pour deux personnes.

Comme celle que vous pouvez voir sur nos images, qui affiche 710grs sur la balance, la qualité « Russe » bichonnée par notre jardinier sur de nombreux pieds donne majoritairement d’énormes tomates.  Cette variété très ancienne de plante potagère de la famille des solanacées, livre des fruits magnifiques, très gouteux, charnues et sans graine.

A la croque-sel ou juste avec un filet d’huile d’olive, vous retrouverez la saveur d’antan, si loin des tomates fades et insipides qui voyagent longtemps dans des camions frigorifiques. Idéale en salade, la « Russe » sera également parfaite si vous en faites des conserves.

Vous pouvez également choisir la « St Pierre » plus classique, mais qui conviendra aussi aux mêmes usages.

Vous pourrez vous procurer ces tomates auprès de Colette, mais aussi les mardis, jeudis, et samedis matins sur le marché de la place Carnot à Carcassonne. Louis et Mathé (affectueuse contraction de Marie-Thérèse) s’y rendent ces jours là avec de pleines cagettes pour satisfaire une clientèle friande de produits naturels et fidèle à leurs superbes et excellentes récoltes.

Et les confitures…

Comme Charles Trenet, Louis a un jardin extraordinaire, où avec fille, ils  soignent aussi les fruitiers qui deviendront avec le savoir-faire ancestral de Colette les délicieuses confitures : figues, melons, prunes, potimarron, sureau…  Lors de notre visite elle s’appliquait à l’élaboration de celle de sureau. Pour affiner ses dosages personnels nous l’avons surprise armée de cet appareil magique qu’est le réfractomètre avec lequel elle mesure le taux de sucre. Le temps de cuisson est aussi essentiel dans ses secrets de fabrication de confitures artisanales. Comme les enfants ont plaisir à le faire, nous n’avons pas résisté à l’envie de goûter au fond de la bassine de cuisson, après la mise en pots … verdict : succulente !!

Ne vous privez pas de ces délices … rendez visite à Colette !!

 

Laurène Sélectionnée Pour Un Stage de Ligue de Hand

 

laurene-baigetDans famille Baiget, on connait le patriarche, Francis qui depuis de si longues  années mène de main de maître le Ippon Club Trébéen … parmi ses enfants, Michael s’est lui investi au sein du club de hand trébéen… dans la génération suivante… je demande … la fille … oui oui !! Cette jeune demoiselle de 14 ans qui porte le joli prénom de Laurène et qui dans les pas de son papa s’illustre dans cette discipline.

Laurène  va partir du 29 au 31 août à Sommières pour un stage de ligue pour lequel elle a été sélectionnée.  Bon sang ne saurait mentir !… Il faut dire qu’elle est tombée dedans toute petite… ou plutôt tout bébé, puisqu’elle a fait son 1er déplacement à seulement un mois, dans le couffin, avec la nationale 3 où jouait son papa avec les Caruana, Fouad et bien d’autres…

Durant l’année qui vient de s’écouler cette adolescente a évolué dans l’équipe des -14 ans.  Les jeunes handballeuses du club local ont réalisé une belle saison et ont décroché le titre de Championnes bi-départementales. Une légitime fierté pour leur coach qui n’est autre que Michael son papa.    Au cours du Championnat Laurène a marqué + de 170 buts, faisant d’elle le » meilleur buteur  » de l’Aude et des Pyrénées Orientales.

Sélectionnée depuis 2 ans dans l’équipe de l’Aude, c’est suite à une détection à Frontignan que Laurène a été repérée par le sélectionneur pour ce stage régional fin août. De ces journées sortira le groupe qui représentera la région pour les féminines 98. Ce stage ne peut être qu’une satisfaction où elle va pouvoir se régaler et apprendre beaucoup de choses, le but étant bien sûr, avant tout de se faire plaisir …

Visionnaire …
Impossible de saluer la sélection de Laurène sans se remémorer le titre qu’Antoine Fernandez, qui était alors correspondant à Trèbes et surement visionnaire, avait choisi pour annoncer sa naissance et le bonheur de Virginie et Michael, fêtés par la grande famille du hand trébéen: Il avait titré «  Laurène Baiget , future star du hand » Nous souhaitons à cette jeune sportive que cette annonce ait été  prémonitoire et qu’elle puisse aller haut … très très haut avec les « étoiles » du hand.  En tout cas cette petite demoiselle ne manque pas de détermination et elle peut compter sur le soutien indéfectible de ses parents et celui de nombreux trébéens dont le notre bien évidemment !  Bonne route Laurène !!!

 

Le Trombi des Festivales

       Ils étaient aux arènes durant les Festivales…

Clap clap clap!!  pour les bénévoles des associations qui ont assuré le point restauration et la buvette durant ces soirées !!

 

Frédérique Sauvignon nous ouvre son Atelier « Au Centre de Soi »

2012

Galerie Frédérique Sauvignon Cliquez ICI 

Vous avez peut être remarqué sur l’avenue du Général de Gaule que les trébéens appellent encore l’avenue de la Gare, au n°10Q plus précisément, une palette de peinture qui vous signale « un atelier d’artiste peintre » … franchissez le portail, empruntez l’allée et allez à la rencontre de Frédérique Sauvignon. Vous ferez connaissance avec une pétillante quinca à la personnalité avenante et cordiale.frederique-sauvignon

Elle est devenue trébéenne, il y a deux ans par  un réel coup de cœur. Ayant un chalet à Castans depuis 6 ans, elle était souvent amenée à traverser Trèbes pour rentrer à Bordeaux où elle résidait. A chaque passage sur le pont fleuri du Canal, elle prenait de plein fouet l’effervescence du centre de la ville et aimait ce ressenti qui lui rappelait un peu l’Espagne et sa vivacité. Quand avec son compagnon, elle a envisagé de s’établir sur le Carcassonnais, Trèbes s’est imposé comme une évidence.  

Sur le plan professionnel, la conjoncture actuelle l’ayant privée en octobre dernier de son emploi, entre Bordeaux, Castans, et Trèbes, c’est chez nous qu’elle choisit de vivre. Peu à peu  Frédérique a aménagé des chambres d’hôtes dans sa grande maison nommée « l’Adorada » (qu’elle propose aussi en version gite : bientôt à la rubrique hébergement du site). Une activité qui comble son goût du contact et de l’échange humain, mais c’est surtout son atelier de peintre qu’elle a pu installer au rez-de–chaussée qui la rend vraiment heureuse…  

La peinture depuis toujours…
La peinture a toujours fait partie intégrante de sa vie, un papa peintre et cet art qui était pour elle dans sa petite enfance une façon de jouer, de s’évader. Sa vie professionnelle ne lui laissera pas toujours le temps de s’adonner à cette activité, mais elle s’est manifestée régulièrement par phases tout au long de sa vie. Une étape sur son CV, dans le monde de l’édition au poste de chef de fabrication, lui permet de trouver une manière d’assouvir son goût naturel pour ce qui est agréable à l’œil. Plus tard, c’est à des  personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer qu’elle a pu transmettre sa passion et les entrainer dans cet exercice libérateur.

Les toiles de Frédérique qu’elle travaille majoritairement à l’acrylique, révèlent sa personnalité ouverte et enjouée. Une dominante très marquée de couleurs vives enlumine des thèmes qui eux aussi reflètent son tempérament. Son attrait compulsif pour l’Espagne, (Séville et Cadiz notamment) dans tout ce qu’elle inspire de sémillant  est dévoilé dans nombre de ses tableaux. Elle en est si imprégnée, qu’elle est convaincue que même si son arbre généalogique ne révèle aucun ancêtre ibère, elle a sûrement des traces de cette origine dans ses gènes.
Parfois ses pinceaux vont s’aventurer à refaire des œuvres de Klint, qui est pour elle une référence ou livrer des formes géométriques, des spirales et autres influences … mais ses sujets de prédilection  tels que la danse, la musique, les paysages… s’imposent dans des couleurs vives sans qu’elle cherche à reproduire la réalité . En fait les caractéristiques de son expression  picturale lui ressemblent : vivacité, pétulance, dynamisme, optimisme… la vie croquée à pleines dents.

«  Au Centre de Soi »
Parmi les traits de caractère de cette nouvelle trébéenne, les rencontres, les échanges humains, la convivialité et le partage sont essentiels presque vitaux. C’est dans ce besoin qu’elle suggère aux hôtes de ses chambres de partager son espace de travail. Elle n’a pas la prétention de donner des cours de peinture, mais plutôt d’inciter à coucher sur la toile ce que l’on a en soi, en toute liberté. Initiative intéressante qui porte l’appellation «  Au Centre de Soi »  et qui, qui sait, pourrait révéler des vocations.  Il se peut qu’après la saison estivale Frédérique tende la main aux Trébéens pour partager cette activité artistique… à suivre…

En attendant voici quelques toiles de Frédérique Sauvignon, allez découvrir les autres en franchissant les portes de son atelier !!

Le Trombi du Marché Nocturne

Nous les avons croisés !! 

 

Alexy Arcier en Nette Progression

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Alexy Arcier dont nous avions raconté la remarquable avancée dans la discipline du Tir au Pistolet en moins d’un an de pratique va de l’avant (voir rubrique Portraits)

Le jeune homme revient du Championnat de France Ecole de Tir qui se déroulait ce week-end à Tarbes. Il était parti serein avec seulement la volonté de s’appliquer et faire de son mieux, et n’a finalement pas été trop impressionné par l’envergure de cette compétition. Il s’était qualifié en se classant 92ème des 108 sélectionnés de sa catégorie benjamin-garçon/pistolet 10m. Il revient avec la très honorable place de 44ème, pour un jeune qui vit sa première  importante expérience de haut niveau. Il a enregistré le score de 252pts.
Bravo Alexy !!!                                                                         

Parmi les autres jeunes de son école de tir présents à ce championnats ( dont vous trouverez les résultats ci-dessous) il est une « presque Trébéenne » dont la maman travaille au Collège Gaston Bonheur ou cette demoiselle est elle-même élève

Les résultats des jeunes de la Carcassonnaise de Tir  

Pistolet 10m:  catégorie benjamins garçon
44ème, Alexy ARCIER,  252 points
53ème, Maxime CORCUFF, 249 points
Carabine 10m:
catégorie minimes fille
14ème, Gaelle WATRELOT, 373 points (sur 400 points)
catégorie benjamins fille
76ème, Célia ZOCCARATO, 223 points
77ème, Léane FROHLIG, 220 points

 Parmi les photos d’Alexy pour ce championnat vous le verrez aux cotés du champion olympique, Frank Dumoulin , et dans le groupe des participants Audois

 

A découvrir Absolument… l’excellent clip des Castafiores

       Nous avions relayé avec grand plaisir, l’appel aux figurants que Les Castafiores avaient lancé le mois dernier pour le tournage de leur clip « Boys Boys Boys ». Le résultat final est à découvrir et nous offre délire et bonne humeur  … du Castafiores pur jus !!

Si vous regardez bien vous reconnaitrez trois autres bouilles de trébéens, autres bien évidemment ,que  celles de nos artistes locaux qui montent montent montent!

A voir, revoir et partager sans modération!!!

 

Alexy Arcier

20 Juin2012
Alexy  qualifié pour le Championnat de France des Ecoles de Tir ,
avec seulement, quelques mois  de pratique du tir…     

alexy-arcier

 La  Carcassonnaise de Tir, 325 adhérents en sections  loisir et compétition, dispose de  4 animateurs chevronnés, dont Guy Cozzoli qui a entre autres dans son palmarès le titre Champion du Monde  d’armes anciennes en catégorie « révolver répliques ».
Ils sont heureux  de présenter  5 jeunes à ces épreuves nationales.   : 2 filles en « benjamine carabine », 1 fille en « minime carabine » et 2 garçons en « benjamin pistolet » seront face aux cibles les 7 et  8 Juillet. Ces jeunes  étaient sortis du lot lors des  qualifications départementales, puis régionales et font ainsi partie des 108 sélectionnés par catégorie pour le France.

Alexy  sera sur le pas de tir   dans la catégorie « benjamin » avec un pistolet à air comprimé sur des cibles à 10 mètres  avec le gabarit de plomb 4/5, qui est le seul projectile autorisé en école de tir  (et également dans toutes les catégories à 10m).

La genèse de sa passion …
Comme de nombreux petits garçons, il a joué dans son enfance avec des  pistolets à billes, mais très  vite, c’est le facteur précision qui  a attiré Alexy.  L’objectif  de progresser dans ce domaine a motivé son entrée au club carcassonnais en septembre dernier.    

Les  premiers enseignements qu’il en a tiré reposaient sur la familiarisation avec l’arme, sa prise en main et les indispensables  consignes  de sécurité. Peu à peu, il a appris à gérer son autonomie, sa concentration, sa maitrise, puis en entrant dans la technique pure, il a affiné sa coordination entre le  viser et le lâcher de la queue de détente qui sont la base de la réussite.  Nous avons découvert que le terme exact de ce que nous appelons la gâchette, couramment usité dans les westerns notamment ,  est dans cette discipline : queue de détente.  Chaque mercredi, mais aussi en période de vacances scolaires, Alexy  est face à la cible pour ses séances d’entrainement.  Là, à un  poste  durant  30 à 40 minutes, tout d’abord, il entre dans le conditionnement avec deux cartons sur les lesquels il tire à volonté, vient ensuite une succession de 10 cibles pour lesquelles il ne tire que 3 plombs.  C’est le total de points obtenus par le placement des impacts ( 10pts au centre, puis  9, 8 en décroissant sur les cercles suivants) que l’évaluation est estimée.  Ce principe d’entrainement prépare le tireur à la compétition puisqu’il est identique pour les épreuves jugées.
A ses débuts à l’automne dernier, Alexy  enregistrait  112 points et  ses performances à ce jour tournent autour de 220 points.
Le jeune garçon, a pour premiers supporters ses parents et sa complicité avec Jean Pierre son papa, qui d’autre part se manifeste dans le domaine de la pêche (il en est le président local) favorise les conditions dans lesquelles  il pratique ce sport de précision. Ensemble ils tiennent à jour le graphique qui  illustre ses progressions.  

Guy Collozi  confirme les prédispositions de notre jeune tireur trébéen,  qui laisse présumer d’un bel avenir dans ce domaine.  Il sait que son accès remarquable  au Championnat de France si tôt, peut être embué par le coté impressionnant d’un tel  évènement et entrainer au moment crucial une perte de moyens. Mais l’expérience et donc le «  déjà vécu »  de ces épreuves nationales ne pourront que lui être  bénéfiques pour le futur.

Bravo Alexy et tous nos encouragements pour ce challenge !!!

Pour en savoir plus sur ce sport de Précision visitez le site de la Carcassonnaise de Tir

Nos images lors de  notre rencontre avec Alexy, ses animateurs et ses camarades

 

Images du Vide Grenier du Tennis de Table

Le club de Tennis de Table a réuni plus d’une centaine d’exposants  samedi dernier et La fréquentation des chineurs plus faible que pour un dimanche ou jour férié était   très satisfaisante. En voici donc le « trombinoscope sourire » . 

 

Du nouveau chez les Castafiores

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Sur I Tunes
Nos jeunes musiciens Trébéens sont toujours aussi actifs et leur talent trouve de plus en plus sa place dans le paysage musical français…

Nous apprenons avec plaisir qu’ils sont dans la compilation référence « Chansons drôles » chez « itunes essentials ». Chansons d’amour, chansons de film, chansons engagées… i tunes a complété sa série par ces « chansons d’humour ».

Retrouvez à présent les grands auteurs de la chanson comique dans leurs plus grands succès :bien sûr Pierre Perret, Henri Salvador, Nino Ferrer, Têtes Raides ou Les Wampas, mais aussi Les Castafiores avec leur détournement de «  l’hymne à l’humour ». ! Cliquez ICIpour découvrir la compilation
Chapeau les garçons!!

Appels à figurants pour le tournage de leur clip

Ils tourneront leur prochain clip « Boys Boys Boys » à Gruissan plage le 16 juin prochain. Pour ces prises de vues, ils lançent  un appel à figurants que nous relayons avec grand plaisir
 » Vous avez de 7 à 77 ans, vous voulez figurer bénévolement dans le prochain clip des Castafiores? Rien de plus simple !
Rendez-vous le Samedi 16 Juin à 13h à Gruissan plage – 11 ( lieu de RDV plus précis dans la semaine du 4 Juin) et sous réserve de météo favorable. Tenue de plage exigée ( Maillot et T-shirts sans marque de préférence ) Prenez également vos accessoires de plage : Parasol et Serviette ( sans marque ), jeux de plage, instruments de musique… Le tournage se déroulera de 13h à 18h sur la plage uniquement. Nous vous demanderons de bronzer, taper des mains, faire la queue leu leu… Vous serez à la fois public et danseurs du clip. 

C’est sur la page Face book que ceux qui seront tentés par l’aventure avec nos joyeux drilles, doivent mentionner leur participation. Il suffit de cocher  « participera » à cet événement. cliquez ICI   mais vous pouvez également leur adresser un e-mail : castafiores@hotmail.com

PS: le soir même, festival musical Hace Calor gratuit sur le port de Gruissan ! 

Images du Vide Greniers de l’Aqua Club

       La météo n’était pas tip-top, mais la bonne humeur était au rendez-vous du vide greniers de l’Aqua Club

Notre « Trombinoscope sourires » du jour

  

Les Castafiores en Résidence

       Depuis lundi, Les Castafiores sont en résidence au chapeau Rouge à Carcassonne. Ils joueront vendredi 11 mai  en première partie de Marcel et son orchestre. Nous leurs avons rendu visite durant ce travail où ils font montre d’un grand perfectionnisme. La scène, c’est leur « Eclate » et ça marche …  le public ne peut que les suivre dans leurs géniaux « détournements de tubes».  Les fidèles découvriront ce soir là des inédits : « boys boys boys » et des Black Eyed Peas « I got a feeling » qu’il ont renommé  « Ça va déchirer ».

 

Vide Grenier d’Accent et Soleil

Ce 8 mai c’était au tour d’Accent et Soleil de nous permettre un « diaporama sourires » avec l’organisation de son vide-grenier.

 

Images Vide grenier des Capucins

Une centaine d’exposants , beaucoup de monde en balade, un beau soleil … toutes les conditions étaient réunies pour un « trombinoscope souriant « 

 

Les Castafiores dans la Cour des Grands

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       Le talent de nos Trébéens « Les Castafiores » va pouvoir être apprécié dès le 23 avril en dehors des salles de spectacles où ils enthousiasment le public, par le biais d’un album où leur nom et l’une de leurs interprétations trôneront au milieu de grands noms de la chanson…

Entourés de Christophe Willem, Lara Fabian, Amel Bent, Luz Casal, Stephan Eicher, François Hadji-Lazaro, Christophe… Les Castafiores et leur reprise explosive du titre « Mourir sur scène » seront dans les bacs sur un album « Depuis qu’elle est partie » qui célèbre les 25 ans de la disparition de Dalida. Ce double album contient des titres originaux, ainsi que des morceaux interprétés par une vingtaine d’artistes de divers horizons musicaux, toutes générations confondues.

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Ecoutez Mourir sur scène par Les Castafiores sur DeezerCliquez ICI C’est Universal qui a repéré leur interprétation de ce titre qui figure sur leur album « Airs de Jeux » et les a sollicités pour l’inclure à cet hommage. Les Castafiores transforment les plus grands standards musicaux en hymnes de fêtes. A l’image de cette collaboration internationale, ils n’ont pas fini de surprendre et de faire parler d’eux !

Autre date à noter , ils seront en concert au Chapeau Rouge à Carcassonne le 11 mai prochain en 1ère partie de Marcel et son Orchestre … réservez vos places dès à présent cliquez ICI

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