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Categorie : Restauration – Hébergement

La Trattoria a atteint sa majorité

       La Trattoria Napoli vient de fêter ses 18 ans, née en juillet 1994 de la volonté de Faby et de Gilbert son papa, reprise en 2000 par José qui a pérennisé sa réputation …
 La voilà en pleine maturité et nous lui souhaitons un bon  anniversaire et de nombreuses et belles années à venir.       

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Etape chez Cathie et Greg pour la caravane du Tour de France

       Bien évidemment ils ne pouvaient accueillir l’ensemble du parc automobile de la  Caravane du Tour de France. Mais en cette nuit de 14 juillet , les chanceux de LCL, Teisseire,  St Michel et Cochonou ont empli leur hôtel Evasion et ont pu apprécier   l’ accueil cordial de Cathie et Greg.   Cochonou en force avait fait du parking une belle expo de deudeuches.

Bonissimo Pizza est désormais sur le Parking de LogiMarché

       Philippe et Marie Pierre avec leur point de vente Bonissimo, ont élu depuis peu domicile sur le parking de LogiMarché. Vous pourrez vous garer aisément pour réceptionner les pizzas à peine sorties du four que vous aurez commandé sur place ou que vous auriez précédemment commandé par téléphone. Ils sont là désormais du mardi au dimanche de 18h à 21h.

Vous pouvez également vous adresser à eux pour des repas de groupes, ils vous proposeront notamment leur paëlla géante. Contactez les au  06 21 36 12 02

bonissimo

Diégo et le Cocagne quittent le Port …

       Après la perte des platanes qui a été un crève cœur pour de nombreux trébéens, voilà qu’une autre désagréable nouvelle est tombée voici quelques jours, nous aurions préféré qu’il s’agisse d’une mauvaise blague, mais hélas non !! Laurent Goudy, ( Diégo ) et son bateau le Cocagne quittent Trèbes dès cette fin de mois de juin. Son nouveau port d’attache sera celui de Carcassonne juste en contrebas de l’écluse. Même si bien évidemment nous comprenons qu’il ait saisi l’opportunité qui se présentait à lui, nous regrettons de le voir disparaitre de la vie estivale de l’avenue Pierre Curie.

Il revenait d’année en année et son retour comme celui des hirondelles annonçait la belle saison.  Difficile d’imaginer le vide qu’il va laisser tout au bout du Port où il contribuait à la dynamique des berges du Canal.  On a tout d’abord connu Diégo a bord de la péniche Europe Odyssée sur laquelle il a effectué sa formation. Au début des années 2000, il vient prêter main forte à Thierry Cambouville sur le Calabrun puis sur le Cocagne dont il devient ensuite le propriétaire.

C’est une page de plus de 10ans qui se tourne. Les balades de Diégo à Trèbes, c’était la découverte paisible des paysages environnants de la ville accompagnée de ses commentaires sur l’histoire et les anecdotes du Canal du Midi et de Pierre Paul Riquet,  mais aussi ses sorties personnalisées … les apéros, les anniversaires… tous ces groupes avec lesquels, il a su favoriser et partager l’esprit fête. Terminé la paillote où nous avions plaisir à prendre un café ou un rafraichissement agrémentés des  discussions pleines de bon sens du patron. Au delà du professionnel, c’est l’homme qui va nous manquer : sa personnalité nature et franche, ses traits d’humour, sa bonne humeur. Le port de Trèbes et ses attaches avec les commerçants et les habitués vont surement lui manquer, il dit d’ailleurs qu’il reviendra en vacances.  La maigre consolation de cette navrante nouvelle, est que Diégo ne sera pas très loin et qu’il sera facile de ré-embarquer sur le Cocagne pour découvrir le nouvel environnement de ses balades et profiter encore de son accueil. Il conserve le même numéro de téléphone 06 50 40 78 50 auquel groupes et particuliers pourront le joindre pour programmer des balades qu’il s’appliquera à rendre toujours attrayantes.  

clin-d-oeilNous prendrons régulièrement des nouvelles de Diégo , ne serait-ce que pour voir quelle est la coupe de cheveux du moment qu’il aura adoptée. Sur notre diaporama vous constaterez qu’il en a souvent changé durant ces 10 dernières années !

 

La Fête de la Musique Al Campo

       Il était encore tôt jeudi soir lorsque nous sommes passés saluer Martine et Serge Al  Campo. Trio Fusion était déjà là pour accompagner en musique cette heure apéritive.
Nous avons eu le privilège de déguster les délicieux Mojitos concoctés dans les règles de l’art des barmans de haut vol , par …  heu appelons le Jean Jacques  ( puisqu’il semble aimer ce prénom !! )  .  Un cocktail très rafraîchissant que nous vous conseillons si vous leurs rendez visite … avec modération, bien évidemment.

Nous avons dû écourter notre visite pour rallier les Arènes où le Music Show était déjà sur scène.

 

Les multiples facettes du Pasteur

    

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En ouvrant « le Pasteur » Alexandre ramène la vie, la convivialité  dans ces murs qui ont tant accueillis les Trébéens du temps du Dancing Sarret  ( Lire rubrique Hier/Trèbes d’Hier ). Il a conservé à la façade ses lignes art déco, mais a habillé l’espace d’une ambiance très tendance/raffinée : béton ciré au sol, teintes blanc/fushia pour la déco ,  matières acier et polyéthylène   pour le mobilier.

Dans cette atmosphère,  où un fond musical permanent confirme  le climat cosy de la déco, Alexandre nous propose plusieurs états d’esprit qui évoluent au fil des heures.

Audrey et Marjorie accueillent à ses cotés la clientèle dans les diverses facettes bistro/resto/patio que réunit Le Pasteur :

En matinée et durant l’aprèm nous pouvons y prendre place dans la phase petit dej/salon de thé / bistro. A midi et le soir place à la restauration sous plusieurs aspects, on peut prendre place à table pour choisir parmi les formules entrée/plat, plat/dessert ou à la carte. Un menu, le midi en semaine, s’adresse à tous ceux qui ne rentrent pas chez eux pour déjeuner. Dès l’heure de l’apéro, en fin d’après midi on peut opter au bar ou aux tables rehaussées, pour les tapas et brochettes entre amis. Alexandre a choisi la gamme  raffinée  chez tous ses fournisseurs : du produit frais en cuisine, aux marques servies au bar, il opte pour la qualité. Pour la  carte des vins, il fait la part belle aux productions audoises.  En ce qui concerne les soirées dans une atmosphère lounge, Alexandre  veut insuffler un esprit festif/branché où l’on pourra pousser le mobilier pour laisser place au dancefloor, il a aussi en projet des soirées à thèmes.  Le patio qui sera bientôt disponible permettra de décliner les divers services du Pasteur à l’extérieur.

De 8h30 à tard dans la nuit, les  divers aspects du Pasteur répondent à vos envies, nos humeurs…

Histoire du Dancing Sarret

       A quelques coudées de l’ouverture du « Pasteur » (mi juin) sur l’avenue éponyme,  des natifs du village ont évoqué pour nous, les anecdotes qui les ont marqués à cette adresse. Pour eux, les 17 et 17bis  de l’avenue Pasteur, c’était le café Sarret et son dancing. Tout un univers synonyme de fête et de convivialité qui est ancré dans les mémoires. Si les prénoms Emile, Irène leurs restent familiers, c’est surtout de «  La Sarréto » ou la « mamé » comme ils la nommaient, qu’ils se souviennent. Ce sacré personnage qui décidait de l’acceptation où pas dans ce lieu où l’on dansait, séduisait, faisait la fête…  
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L’entrée de la salle dancing se faisait à l’époque par une porte tout au fond du café (l’actuel Café de l’Aude). Là, la Mamé ostensiblement installée avec sa chaise et son guéridon, obstruait le passage pour ne les laisser passer qu’un par un, après qu’ils se soient acquittés de leur dû : 20 centimes (de la première version des francs dans les années 50). La « Veuve Sarret » savait qu’ils cherchaient à « l’embrouiller » et ils le reconnaissent aujourd’hui en riant : «  on lui faisait de tout, on la faisait périr ». Ils l’entendent encore, dans son «  Quel âge tu as toi ? » tant de fois formulé.    

Après avoir amadoué le « cerbère en jupon », ils pouvaient profiter de la musique des orchestres, différent chaque semaine, qui se produisaient sur la scène. Sur ce thème aussi les souvenirs affluent : José Marson, René Cadres, Pol Sud… toutes ces formations qui faisaient guincher la jeunesse.  Coté dancing, pas de buvette, c’est au café à coté que l’on se désaltérait. Ils se rappellent aussi des garçons de café : Pierre Baillat, Valentin Querol … qui venait prêter main forte les jours de grande affluence.  

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Nos Trébéens de souche se souviennent aussi de la Fête du Village, pour la St Etienne en décembre. Avant la construction de la Salle des Fêtes au cœur du village (aujourd’hui démolie) c’est en ces murs que l’on se retrouvait à cette occasion. Les festivités s’articulaient autour du 26 décembre, jour de la St Etienne, patron de la ville. Durant 4 jours,  la population qui comptait à l’époque de 1800 à 2000 âmes, augmentait considérablement tant ont recevait dans les familles, à cette occasion là. Les jeunes qui organisaient la fête, effectuaient avec les orchestres le «  levant de table »… Les jeunes et les musiciens juchés sur des charettes, portaient la musique en porte à porte à l’heure du déjeuner, jusque dans les campagnes,  pour recueillir l’obole donnée par la population pour contribuer au cout des festivités.  Les propriétaires viticoles aidaient aussi au financement qui permettait jusqu’à 2 jours supplémentaires de fête.
Ces jours là, le Dancing Sarret n’était pas assez grand pour accueillir tous les festégaïres. « Les murs coulaient par la condensation, tant il y avait du monde, on dansait dans la rue ».

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Les lotos étaient aussi des animations auxquelles se pressait la population, ils se déroulaient en alternance chez les Sarret et au Café Pouzinc ( lui aussi démoli).

Le café/dancing Sarret a très longtemps été une véritable institution, un lieu de rencontre  et de vie incontournable. Plus tard après la construction de la salle des Fêtes (qui devenait aussi cinéma),  il restait une étape qui s’imposait pour la jeunesse trébéenne qui le dimanche avait son rituel : cinéma / Pâtisserie Denat / « Café Sarret ».

A Alexandre Layani qui va très bientôt redonner vie à ce lieu, en ouvrant son  « Bistro/Resto/Patio Le Pasteur »,  nous souhaitons une aussi belle réussite que celle qui a marqué « les années Sarret ».

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Les Bruschettas de Cyril

       Vous avez peut-être déjà gouté les pizzas et les paninis d’Happy Snack que nous propose Cyril. Il a ajouté une nouvelle spécialité que l’on peut choisir pour le moment à midi seulement. Il s’agit des bruschettas qui comme ses autres préparations se déclinent  dans l’association de plusieurs ingrédients.  Nous avons suivi pas à pas l’élaboration de « la Chorizo » dont nous nous sommes ensuite régalés. Vous pouvez opter pour celles à base de crème fraiche ou de tomate (Voir sur diaporama) et Cyril se montre conciliant si vous souhaitez remplacer un ingrédient. A découvrir le midi !

 

Emouvant départ d’Annie et Gilbert

       Pour ces dernières heures à la tête de leur établissement après près de 30 ans de dévouement pour la clientèle Annie et Gilbert avaient réuni des amis. Annie couverte de fleurs recevait avec émotion ces chaleureux témoignages. Gilbert les yeux embués de larmes prenait la parole pour quelques mots de remerciement. Tous deux reflétaient sans conteste cette tendre complicité qui les unit dans la vie et les a soutenu durant ces longues années professionnelles. Sur le calendrier, les mois à venir ont été biffés des mots « viva la vida » mais ils auront sûrement du mal les premiers temps à ne plus se lever pour les autres comme ils l’on fait durant 3 décennies. Le petit hommage d’un fidèle client illustre parfaitement tout ce que ce couple emblématique a apporté à ceux qui franchissaient leur porte.  Près d’eux ce soir là, leurs filles Myriam ( qui a d’ailleurs travaillé avec eux de 87 à 95) et Laurence et leurs compagnons pourront enfin profiter de leurs parents plus disponibles.
Mais ceux qui vont se sentir les plus orphelins sont sans nul doute les membres du personnel : Dominique le chef, Nathalie (11ans1/2 dans la boite), Valérie (6 ans), Claudette(2 ans), Christelle ( actuellement en congé parental mais 5 ans à leur service) ne pourront rejoindre chaque jour ce cadre familial. Nathalie avec un gros nœud dans la poitrine nous confie ce soir là les liens très forts qui l’unissaient à Annie et Gilbert… elle les a toujours appelé lui « Patron » et elle « Mme Laffont » mais ils ont partagé ensemble les peines qu’entraînent des décès familiaux et les joies que permet la vie. Pour tous, il était difficile d’admettre que tout puisse s’arrêter ce soir là.
Parmi les proches, on reconnaissait les bouilles de trébéens amis de longue date, Yvon et Lulu Fraisse, M et Mme Azaïs, Mr Loup… tenant à dire leur attachement au couple.

Annie, Gilbert profitez bien de ce repos si mérité et donnez nous de vos nouvelles de temps en temps, nous aurons plaisir à les transmettre aux Trébéens dans nos pages !

 

A la Trattoria… ils sont à nouveau là

Autour de José et Cathy, l’équipe de la Trattoria nous revient en grande forme.  Le frère et la sœur ainsi que Philippe au service, Fati et Bimbo en cuisine sont fin prêts pour accueillir le client. Comme sur notre photo, ils nous invitent à prendre place et à découvrir  les nouveautés qu’ils mettent tout d’abord aux suggestions du jour , avant de renouveler  la carte d’ici quelques temps.  Les premiers rayons de soleil leurs ont permis de servir en terrasse et ils vont très rapidement mettre en place celle du bord du Canal. A vos fourchettes …
 
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Au P’tit Creux Expo de Roberto Lamaille

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 Même si l’espace du P’tit Creux  permet  une surface d’expo très limitée, les toiles de Roberto Lamaille trouvent là un agréable environnement.

C’est une collection aux teintes chaudes qui a pour thème dominant une souffrance adoucie de spiritualité qu’il nous présente . 
Sylvie et Eric accueillent ses tableaux  jusqu’au 17 mars

Annie et Gilbert Laffont vont nous quitter

       C’est une tranche d’histoire qui prendra fin le 9 mars prochain lorsqu’Annie et Gilbert Laffont baisseront définitivement le rideau du Relais des Capucins, que l’on connait aussi sous l’appellation « le Routier ». Ce sont nos plus anciens commerçants et restaurateurs de Trèbes, qui nous quittent après presque 30 ans d’accueil de la clientèle dans leur établissement. Ils vont prendre une retraite bien méritée, car même s’ «  ils ne font pas leur âge »,  ils sont largement en droit de tirer leur révérence.

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Cette adresse dont la notoriété dépasse nos frontières aura été pour de nombreux fidèles une étape «  comme à la maison ». L’esprit libre (dans les limites du raisonnable en ces lieux) qu’Annie et Gilbert assument pleinement a en partie contribué à la réputation de la maison. Mais outre les routiers, ils ont su fidéliser grand nombre de commerciaux, de retraités en balade qui aimaient retrouver à leur table la qualité des bonnes recettes de grand-mère qui en a fait une étape gourmande renommée.

La nouvelle de la fermeture est tombée comme un coup de massue pour les habitués qui vont se retrouver orphelins de cette « maison familiale » et qui attristés se demandent déjà «  mais où allons nous aller ? ».
C’est les larmes aux yeux qu’Annie se prépare à cette échéance de début mars. Elle a du mal à imaginer mettre un point final à toutes ces années durant lesquelles, avec Gilbert ils se mettaient au travail chaque jour avec plaisir. Le client devenait au fil du temps l’ami et il savait qu’il pouvait ici se confier, s’épancher en pleine confiance.

Gilbert se souvient de leur arrivée à Trèbes, en 1983, il était alors allé saluer ses confrères : les frères Authier sur la 113, le père Tomazello en face, Jean Jacques Gaubert au café de l’Aude…

La bâtisse sera rasée
routierL’autre aspect de ce départ qui est un crève cœur pour nos restaurateurs, est que la bâtisse va être rasée pour laisser place à un centre commercial . Voir disparaitre cette imposante maison dont l’histoire est rattachée au Trèbes d’hier à l’époque où les briqueteries et tuileries étaient nombreuses occasionnera surement  pour de nombreux « vieux » Trébéens un pincement au cœur.

Annie et Gilbert apaisent leur tristesse de s’en aller, en se projetant dans l’avenir où ils pourront s’adonner à la chasse, à travers un voyage en Afrique ou encore en participant , comme ils le font depuis des années, à des concours avec leurs springers anglais.  Les époux Laffont pratiquent la chasse dans le sens le plus respectueux de cette activité qui leur permet d’assouvir leur passion de la nature et de la marche.

D’ici le 9 mars, passez prendre un café ou vous régaler de la cuisine maison, chez Annie et Gilbert , cela leur fera chaud au cœur.

L’histoire de cette adresse
Nos aînés Trébéens ont connu la briqueterie qui se situait ici. La bâtisse n’était autre que la maison de maîtres des propriétaires de cette ancienne entreprise. C’est après la guerre qu’une dame d’un certain âge en a fait l’acquisition pour en faire une étape gastronomique et reposante avant tout destinée aux premiers chauffeurs de camions qui effectuaient de longs trajets. Très vite et pour longtemps cette halte régénérante devint dans les habitudes des routiers  » Chez la mémé »  de manière à la fois affectueuse et déférente.  Gilbert Laffont qui a exercé cette profession durant de nombreuses années, arrêtait lui aussi le moteur de son camion pour se restaurer chez la vieille dame. deux autres propriétaires succéderont ensuite à cette dame estimée, avant ce jour d’avril 1983 où Annie et Gilbert deviendront les sympathiques restaurateurs de cette étape de baroudeurs des grands axes routiers.

Carina et Jean Michel nous présentent les Pizzas Léo

       Pas le temps ou pas envie de cuisiner… voila un nouveau point de vente qui vous propose des pizzas à emporter. Ce sont les commerçants que vous avez eu l’occasion de découvrir sur l’avenue Pasteur au magasin bio, Carina et Jean Michel, qui nous reviennent  . Oui oui! ils  retrouvent le contact avec  les Trébéens, une relation qu’ils adorent et qui leur manquait.  Drôle de reconversion direz vous… que nenni, la pizza ils connaissent et même parfaitement puisqu’ils avaient par le passé un bar-pizzéria dans les P.O.
C’est sur le parking de Super U qu’ils posent leur camion jaune vif « PIZZA LEO » du prénom de leur petit bout de chou que vous pouvez voir sur l’une de nos photos.

Des pizzas au Feu de Bois
La particularité de leurs pizzas est avant tout qu’elles sont cuites au feu de bois. Ainsi dans ce petit espace bien aménagé trône l’élément essentiel le four, avec bien évidemment la pièce maîtresse  les mains de Carina. Quoi de plus beau que les mains d’une femme dans la farine, chantait Nougaro et quand en prime, elles préparent avec dextérité les garnitures généreuses de ses pizzas, le résultat est savoureux.

Une multitude de choix
A propos de ces garnitures, l’expression «  l’embarras du choix »  est on ne peut plus appropriée. En effet, la carte vous suggère plus de 50 garnitures différentes pour les salées qui se déclinent sur 4 bases distinctes : les « rouges » base tomate, les « blanches » base crème fraiche, les « rosées » base tomate/crème fraîche ( mélangées), et les « arlequins » demi pizza base tomate/ demi pizza base crème fraiche. Les ingrédients des compositions offrent quand à eux une très grande diversité : impossible de vous les citer tous mais vous les découvrirez sur la carte ci-dessous. Les enfants ne sont pas oubliés et ils adorerons choisir parmi les pizzas bambino dont les noms leurs sont familiers : barby, pokemone, tygrou, schtroumph … ( Le petit Léo nous a confié que la schtroumph est sa préférée) .  Pour compléter votre repas les pizzas sucrées constitueront un délicieux dessert.

Livraison  à  domicile
Carina joviale et agréablement volubile vous aidera à choisir avant de mettre la main à la pâte pour préparer votre pizza.  Mais vous pourrez découvrir la personnalité de Jean Michel si vous optez pour la livraison à domicile ( 0,50€ sur Trèbes seulement) . C’est à lui que vous ouvrirez et même s’il est d’un naturel discret, vous apprécierez sa gentillesse.

 

Sylvie et Eric ouvrent  » Le P’tit Creux »

 

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      Au 1er février l’Eden Café est devenu  « Le P’tit Creux » …. En changeant l’enseigne de cet établissement qui jouxte Intermarché, Sylvie et Eric Pelletier annoncent la couleur: C’est votre assiette qu’ils veulent avant tout privilégier. En effet  installés à Trèbes depuis 3 ans et demi ils veulent exercer ici dans un domaine qu’ils connaissent bien avec dans leurs bagages l’expérience de la gestion de deux snacks : en Haute Savoie, puis en Lozère, ils ont proposé à la clientèle une cuisine bistro.

C’est en souhaitant se rapprocher de leurs enfants étudiants à Montpellier qu’ils ont aménagé dans notre ville. Depuis leur arrivée, ils recherchaient un établissement compatible avec leur vie de couple, car Sylvie occupe par ailleurs un poste à la CPAM. C’est ainsi qu’ils ont saisi l’opportunité d’acquérir cet établissement qui par ses horaires de fonctionnement calqués sur ceux d’Intermarché, permettent de conserver une qualité de vie personnelle.
Avec cet objectif de favoriser l’aspect culinaire de cette adresse, les premiers travaux ont concerné la cuisine qu’Eric a entièrement démolie et restructurée. Ainsi les clients auront pleine vue sur son travail de cuisinier. Dans un premier temps, ils proposent le service de midi, avec des formules entrée/plat ou plat/dessert à 10€ ; auxquelles vous pouvez ajouter café et ¼ de vin pour le menu à 12€. Il vous sera par exemple suggéré en plat du jour : un filet mignon sauce morille accompagné d’une purée maison.
Même s’ils accueilleront toujours la clientèle café/salon de thé dès 6h30 du matin, vous l’aurez bien compris, c’est à table qu’ils invitent les Trébéens à prendre place. Le P’tit Creux est ouvert jusqu’à 19h30 mais Sylvie et Eric n’excluent pas de fonctionner le soir pour des groupes sur réservation. Cet agréable couple est prêt à vous accueillir avec plaisir et nous témoignons déjà de leur gentillesse. Changement de propriétaires, changement d’identité des lieux… à découvrir ou redécouvrir ! 

Classe et chaleureux, le Grill du Moulin ouvre ses portes

       Au  Moulin de Trèbes, le restaurant de Catherine et Pierre Vivancos, à la belle saison  on pouvait déjà prendre place dans l’un des espaces existants: La terrasse avec vue sur les écluses, la salle à l’esprit bistrot, l’annexe et son ambiance lounge gérée par Quentin. Depuis vendredi, un tout nouveau cadre et une nouvelle carte pour laquelle la grillade est reine,  est suggérée à la clientèle le soir.

Cette salle jusqu’à maintenant inexploitée  est devenu «  Le grill du Moulin » une pièce très chaleureuse où le couple a judicieusement su harmoniser les murs anciens à des touches de décoration très contemporaines. Le tout est du plus bel effet et confère au lieu une atmosphère à la fois classe et cocooning. La cheminée où Alain surveille la cuisson des viandes et poissons contribue grandement au climat agréable dont nous pourrons profiter désormais et durant la saison hivernale.

Jusqu’à fin octobre, l’on peut déjeuner en terrasse le midi quand la météo le permet et diner le soir « Au Grill du Moulin ». Vincent au service et Guillaume chargé des entrées et desserts seront à vos petits soins.

Consultez la carte sur leur page  et regardez les photos … vous allez vous en lécher les babines.

Au Chupito Le retour de Marie-Line et Franck Di-Méglio

Trébéens dans l’âme avant tout, le frère et la sœur n’ont pas hésité lorsque l’opportunité de reprendre le Chupito rue Pierre Loti s’est présentée.

On se souvient du clan Di Méglio( dans le meilleur sens du terme) qui de 1999 jusqu’en 2007 a fait vivre le Café de l’Aude. Voir page commerces/anciens commerces

Fans de rugby, turfistes, commerçants, tous percevaient l’esprit famille qui les anime.
Cette nouvelle aventure se dessine aussi en famille au Chupito, puisque outre le frère et la sœur on trouve Marion ( la compagne de leur neveu) au service. Tout en gardant les tapas le soir  (voir page La restauration/ Le Chupito) dont ils ont tout de même modifié les formules, ils proposent le midi un sympathique menu du jour.
Coté accueil, les Trébéens retrouvent avec plaisir , dès le petit matin pour un café, la gentillesse qui les caractérise. Franck est toujours aussi fan de rugby et il a même sous son comptoir, un porte document plein d’archives de l’UST le club de Trèbes.

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